Monza

Monza, le circuit où se dispute le grand prix d'Italie depuis le 1929, c'est un des circuits les plus anciens du monde et aussi un des plus rapides et passionants. C'est unique de conduire notre automobile sur la meme piste ou Schumacher, Hakkinen et les autres pilotes de Formule 1 atteignent les 360km/h et tournent a une vitesse moyenne de 260km/h. Surement pendant la circulation touristique on tourne bien plus lentement, mais l'emotion est inegale.
Monza est aussi bien fameux pour les courbes surelevées de son anneau"haute velocitè", où on disputait la 500 miles de Monza, en partenariat avec le 500 miles d'Indianapolis, pour le trophée des "deux mondes".
Maintenant c'est bien moin palpitant que pendant les années '70 quand il n'y avait pas aucune chicane, mais est encore, avec Montecarlo, le Nurburgring, Silverstone et peux d'autres circuits, un mythe de l'automobilisme sportif.
Pour rejoindre ce mythe sont necessaires 25,9€ (on est finalement das l'europe unifiée!), une voiture en regle, donc pas elaborée (etendons-nous, en theorie, il y a, par exemple, une Sierra de 450ch, que n'est pas surement ok, qui tourne regulièrement....), avec assurance valide (donc pour le français avec "carte verde" en regle) et permis de conduire européen.
Les dates sont comuniqées sur le site officiel du autodrome: www.monzanet.it sous la denomination de "circolazione turistica" (c'est "circulation turistique").
Pour rejoindre le circuit de la France c'est tous simplement necessaire de rejoindre Milano avec l'autoroute "Milano-Torino" ou "Milano-Genova", parcourir la "tangenziale ovest" en direction Venezia et sortir à Cinisello-Balsamo, d'ici suivre les indications pour Lecco et une fois sur la route-express Milano Lecco, il y a des indications assez precise que vous permettent de rejoindre l'autodrome.

Celle ci c'est la "Prima Variante" (premiere variante), la courbe la moins amusante du circuit. La décéleration est importante, on arrive ici de la longue ligne droite de depart, avec des voitures de serie sportives (120-180cv) aux alentours des 190/210kmh. Le freinage est delicat car on doit entrer à environ 60-70kmh, et on ne doit pas arriver "longs" pour ne pas essayer la sable.

Ici on voit la "Curva Grande", une grande courbe qu'on peut prendre avec le gas tout ouvert sans aucun probleme. La courbe est legerment inclinée et on ne doit pas rester très proche du vibreur car il y a une fossette traditrice.

Apres la "Curva Grande" on arrive à la "Roggia", une chicane beaucoup plus amusante de celle de la "Prima Variante". Ici les vibreurs sont assez hauts et on doit les monter sans exagérer. Le freinage aussi est delicat parce qu'on arrive ici à une vitesse environ de 170-190kmh selon les voitures. En effet, a Monza les plaquettes des freins sont trés sollicitées.

On arive finalement aux "Lesmo" 1 et 2, les deux courbes les plus amusantes! En Lesmo 1 on doit entrer legerment large en laissant glisser la voiture, car la courbe, comme la Curva Grande est legerment inclinée. La trajectoire correcte impose un sortie sur le vibreur à environ 130-140kmh. Ne pas monter sur le vibreur à l'interieur, trop haut.

La Lesmo 2 n'est plus la mithyque courbe de faire en plein (pour qui reussit!) qu'il y avait jusq'au 1994, et aintenant est une courbe plus lente de la Lesmo 1 mais est toujours plus difficile. Au contraire de la courbe precedente, ici on a suffisante visibilitè à l'interieur en le vibreur est optimum pour en monter au dessous. En effet, on doit tenir en consideration un leger sourvirage causé de la montè sur le vibreur et de la legere descente qu'on a ici.

La "Ascari" c'est la chicane la plus complexe du circuit et aussi celle qui fauche le plus grand numero des victimes. On arrive d'une descente, mais l'entrée de la courbe est en montée, à gauche, aveugle. Le risque est d' y entrer trop vite et de se tourner en freinant. La successive "piége" a droite peut etre affrontée au gas ouvert, mais avec le pied arreté sur le gas. En effet l'asphalt est assez glissant, et toutes les corrections sont trés dangereuses. La sortie doit etre large, en laissant glisser l'auto, sans serrer trop.

La "Parabolica" c'est la derniere courbe du circuit, et la plus fameuse. L'entrée est etroite et glissante, la sortie ne semble terminer jamais. Le probleme de la parabolica est la trajectoire: on ne reussit pas à parcourir la meme trajectoire deux fois de suite !! Attention meme à n'exagérer pas avec le gas en la parcourrant: le risque est d'etre dans la sable parce qu'on est trop vite, et la courbe n'est pas encore terminée.....

Les images et les documents remportés sont de proprietè de l' "Autodromo Nazionale Monza"